In België......traduire anglais
De regering telt 5 vrouwen op 15 ministers, en geen enkele vrouw bij de staatssecretarissen. Slechts een kwart van de vrouwen met een nationaliteit van buiten de EU heeft werk, tegenover de helft van de mannen. Bij de vredegerechten en de politierechtbanken zijn drie kwart van de rechters mannen.
(Kijk naar ons brochure van 2010 (faire lien))
Wij zien vier actieterreinen, vier domeinen die cruciaal zijn om de vrouwen van de hele wereld te bevrijden. De eisen uit deze bundel zijn opgesteld door vier werkgroepen in de WVM. Wij zijn ons er evenwel van bewust dat deze actieterreinen onderling samenhangen en deel uitmaken van een globale visie op een nieuwe wereld van gelijkheid en solidariteit. Wij hebben ook gestreefd naar een zo groot mogelijke weerspiegeling van de diversiteit van vrouwen (migrantenvrouwen, oudere vrouwen, lesbiennes, vrouwen zonder papieren, gehandicapten, enz.) in onze eisen. Dit was mogelijk omdat onze leden ook zeer divers zijn. Het geheel van onze eisen vormt de basis voor een werk van pleitbezorging en politieke controle in eigen land. We willen deze eisenbundel zoveel mogelijk gebruiken om rekenschap te vragen aan onze politieke vertegenwoordigers over hun engagementen en hun verwezenlijkingen.
Translation..............
Traduction en anglais......
« Les femmes serrent la ceinture au gouvernement ! »
Journée Internationale des femmes
Action nationale de la Marche Mondiale des femmes le 4 mars 2017, Place de la Monnaie
La Marche Mondiale des femmes est un mouvement international féministe, démocratique, autonome, transparent et créatif. Il regroupe plus de 5000 réseaux, organisations et militant(e)s de 164 pays et régions qui ont un but commun : marcher tant que les femmes ne seront pas libres. Les revendications de la Marche Mondiale des Femmes 2017 sont axées autour de deux thématiques qui doivent trouver une réponse aussi bien au niveau mondial que local. La première concerne les biens collectifs, les services publics, la protection sociale et l’autonomie économique des femmes et la seconde est la lutte contre les violences faites aux femmes, la paix et la démilitarisation.
L’action de la MMF-Belgique de 2017 dénonce les effets des politiques prises par notre gouvernement qui sont en train de démanteler la sécurité sociale (et tout le système de protection sociale). Voici quelques exemples significatifs :
Dans les cadre de l’austérité, le gouvernement a entre autres augmenté de plus de 45% le montant du ticket modérateur pour les visites chez les spécialistes tels que les gynécologues ou les ophtalmologistes. Cela a évidemment eu un impact très direct sur les patients au vu des centaines de milliers de personnes qui ont postposé leurs soins de santé (Dobbelaere, 2014). En effet, en 2013 en Wallonie, 24,9% des femmes et 44,3% des familles monoparentales ont reporté des visites médicales ou y ont renoncées alors qu’elles en avaient besoin ; le ticket modérateur est passé de 8,23 à 12 euros en 2015.
Quant aux femmes enceintes, à partir de 2015, elles sont censées quitter la maternité un demi-jour plus tôt qu’avant. Il s’agit là d’un renvoi trop précipité des patientes chez elles, qui peut être à l’origine de graves complications. Un suivi professionnel à domicile de ces patientes serait l’idéal et devrait aller de pair avec cette réforme, mais cela ne sera pas possible si l’on continue à affaiblir les services de protection sociale. Nous constatons donc que celles qui paient, en santé et financièrement, ce sont les femmes.
Le budget pour 2017 présente des coupes énormes dans le secteur de la santé, de l’ordre de 900 millions, notamment sur les prix des antibiotiques dits de court terme et sur les infrastructures. Tout cela aura un impact néfaste sur les femmes (et le reste de la population à risque ou pauvre) étant donné que « les femmes seront particulièrement concernées, car ce sont elles qui, faute de moyens, s’auto-médicalisent ». Cette situation entraîne une augmentation des maladies des femmes à cause de la surcharge mentale et des responsabilités excessives.(1)
(1) Pourquoi les politiques d’austérité touchent davantage les femmes ?, Le Monde selon les femmes, Bruxelles, 2016, Marcela de la Peña Valdivia et Melania Giubbilei
Garderie sur réservation avant le 2 mars.
Contact fr.: Marcela de la Peña V. This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
Contact ndl. : Gart Goorden. This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it.
World March of Women Belgium
Presentation :
The world March of the women is a worldwide network of actions of struggle against poverty and the violence to the women. Born in 1996, the world March of the women quickly became an inescapable world movement and collected in 2000 about 6000 groups of women through 163 countries and territories of the world. In Belgium, the March mobilized more than 80 women's organizations and on 14th October 2000, some 35 000 women participated in an European demonstration two days before a closing march in New York in front of United Nations. The march allowed to make visible, to strengthen and to show solidarity the groups of Belgian women around common claims against the violence and the poverty towards the women. For 2000, the World March of Women became strongly active at the national and international level. The March developed numerous regional platforms. MMF-Belgium participated actively in various actions ; campaigns, demonstrations and commemorations of Women's days as 8th March, November 25th among others. Our purpose: require to the government and to the national authorities and international to implement all the claims presented every year, in order to assure an effective equality between men and women.
« Poverty and economic independence - women and decent work »
« Violence to the women »
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« Peace and demilitarization »
« Common properties and access to the resources - food sovereignty »
The National Coordination of World March of Women, through its advocacy, commits to the reinforcement of the equality of sexes. Starter of a theory which conceives the variable genre as the main and transverse barrier of social stratification. Our strategy is mainly built on this objective, to be able to, thereafter, amplify the results in a transverse way and transform indirectly the other dimensions of the status quo. So, our action is managed against the inequalities of nation, the discrimination of minorities and ethnic communities and economic poverty, as well as against all the forms of violence. At the same time, we claim a more egalitarian and more respectful, alternative world order with its inherent diversity. More specifically, the general objectives are: the struggle against the various violence to women as such, and their social eclipse; the fight of the poverty and the misery and the economic dependence; the opposition to the privatization of the public services ; against the militarization and the arms race.
- Promote the equality between the women and the men and between the nations.
- Support a vast popular educational process where all the women can analyze by themselves and for themselves the causes of their oppression and the possible alternatives.
- Put forward the claims and the common alternatives to the movements of the society women, on the local, national, regional and international plan, around the poverty and around the violence towards the women.
- Bring the governments, the decision-makers and the members of the civil society to support and to make the changes which are imperative
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